Chiffre d’affaires, secteur d’activité, etc. Si chaque jeune pousse présente un trait de particularité propre, elles sont toutefois, liées par un point commun : la nécessité de se faire financer pour pouvoir démarrer. Investir dans une startup comporte certes des risques, mais il ne faut pas oublier la vitalité impressionnante de ces jeunes entreprises. Il peut donc, être intéressant de placer son argent dans ce type de société, mais en prenant en compte, certains points.

Startup: les raisons d’investir dans ce type de société

Les raisons qui poussent une personne à investir dans une jeune pousse sont nombreuses et peuvent varier d’un investisseur à un autre. D’un côté, la rentabilité fulgurante de certaines startups y est pour quelque chose. En effet, celles qui sont classées dans le FAST 5OOS peuvent voir leur chiffre d’affaires multiplier de 1 300 % sur une période de quatre ans seulement. Ce qui est impressionnante. De l’autre côté, investir dans une nouvelle entreprise contribue plus ou moins à la création d’emplois. En d’autres termes, c’est un réel coup de pouce pour l’économie locale, voire nationale.

La loi fiscale qui régit l’investissement dans une startup

Le système fiscal relatif à l’investissement dans une startup se montre particulièrement clément envers les bailleurs de fonds. Par exemple, si vous investissez dans une entreprise française qui emploie pas plus de 250 salariés et dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas les 50 millions d’euros, vous pouvez profiter d’une réduction de 25 % quant à votre impôt sur les revenus. De même, si vous décidez de devenir actionnaire au sein d’une entreprise française qui compte pas plus de 5 000 employés et dont le chiffre d’affaires annuel n’excède pas les 1,5 milliard d’euros, vous allez être épargnés des impôts sur les dividendes et les plus-values. Néanmoins, cela ne s’applique qu’à partir de la cinquième année révolue et que vous avez obtenu vos titres par le biais d’un PEA-PME.

Les principales sources de financement d’une startup

Une société comme une startup obtient son financement de différentes sources. Généralement, une startup déjà active vit des revenus générés par ses propres activités. Et puisqu’une startup ne peut s’auto financer à ses débuts, elle aura besoin d’investisseur. Souvent, les jeunes pousses tirent leur premier capital à partir des cotisations provenant de la famille et des amis du ou des fondateurs de la société. Outre cela, ils peuvent aussi faire appel à des capitaux propres pour se financer. Une méthode, qui toutefois, reste très couteuse pour la startup. Enfin, une manœuvre classique pour lancer les jeunes pousses est de recourir à un prêt au sein d’une banque ou d’un organisme spécialisé dans le financement d’une entreprise.

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